Bonnes Fêtes de fin d’année

L’ensemble des élus de la liste Ensemble pour Saint-Pierre d’Oléron vous souhaite de passer de bonnes fêtes de fin d’année, en famille et entre amis. Nous avons une pensée pour tous ceux qui se retrouvent isolés dans ces moments festifs. Nous n’oublions pas les gens dans la rue, nous n’oublions pas la faim, la misère et le froid pour beaucoup. Nous formulons le souhait que toutes les injustices sociales disparaissent puisqu’elles portent en elles le fruit de bien des déshérences politiques. Pas de paix sur terre, sans la justice, l’égalité et la solidarité !

Les élus de la liste Ensemble pour Saint-Pierre d’Oléron

Bon Noël à vous tous !


Ces fausses bonnes solutions…

Ce texte, écrit pour le bulletin municipal de Saint-Pierre d’Oléron du mois de mai, n’a pas pu faire l’objet de discussion entre les membres de la liste Ensemble pour Saint-Pierre. Il ne figurera pas dans La Lanterne. Nous le mettons à disposition des lecteurs du site. Bonne lecture !

Lors du débat, précédant le vote du budget, notre groupe émettait des réserves sur certains choix budgétaires décidés par la majorité municipale, en premier lieu, sur les baisses des dépenses du personnel : « Baisser les dépenses de personnel, ce n’est pas réjouissant, car la collectivité a un rôle d’employeur social. », de plus « il y a une crainte que le secteur associatif s’effondre et que la collectivité soit obligée de compenser ». (Extrait du conseil municipal du 12 mars). Déjà l’année précédente, nous avions mis l’accent sur ce problème : « la qualité de service ne peut pas être maintenue avec des effectifs à la baisse ».La majorité s’était voulue rassurante. Or, notre inquiétude s’est révélée bien réelle, puisque confirmée par un appel au bénévolat pour venir nettoyer le cimetière le 3 mai,pompeusement nommée Journée citoyenne  ! N’a t-on pas assez de chômeurs sur l’île pour être contraint de faire appel au travail gratuit par nos administrés en remplacement du personnel communal qualifié pour le faire ? Jusqu’où devra t-on aller pour compenser les baisses de dotations de l’État ? Le bénévolat et le recours aux nouvelles technologies ne compenseront jamais un service public doté de personnel en nombre suffisant pour répondre aux besoins identifiés relevant d’une compétence communale.

Moins d’humain, plus de technologie… Est-ce bien ce que nos concitoyens demandent ? Est-ce que les caméras,déployées par la municipalité de Saint-Pierre, sont en capacité de remplacer du personnel formé et aguerris à la surveillance tel que nos gendarmes ou notre police municipale ?Il suffit de se référer à une affaire qui a ému la France entière, il y a quelques mois : ce n’est pas une caméra quia donné sa vie pour sauver la vie d’une personne prise en otage,mais bien la personne du colonel Arnaud Beltrame,hommage lui soit rendu. Reconnaissons que les images filmées par ces caméras peuvent aider à la résolution d’enquête, mais qu’elles peuvent aussi être détournées de leur utilisation première (comme une récente affaire nationale, en cours d’instruction, nous l’a prouvé) et repousser les problèmes un peu plus loin. La réduction des effectifs dans notre commune, un des derniers lieux proche des gens, ou dans les services publics en général est arrivée à un stade critique. Alors que le chômage de masse menace la cohésion nationale, il est grand temps de mettre un terme à ces fausses bonnes solutions.

Catherine Causse et Marie Claude Sellier Marlin

Conseillères municipales de la liste Ensemble pour Saint-Pierre d’Oléron

Environnement


En novembre 2018, suite à une de nos questions sur le traitement du terrain agricole jouxtant la zone de forage de l’Aubier (seule lieu de captage d’eau potable sur Oléron), le directeur de la RESE nous confirmait être intervenu auprès du syndicat départemental, ca rsur de tels endroits il y a des règles contraignantes :périmètre à respecter, etc…

Nous pensions que cela ne se renouvellerait pas, or, ce printemps, le terrain a été, de nouveau, traité au glyphosate.

Nous avons alerté Mr le Maire qui n’a pas paru y être sensible en expliquant que le produit ne va pas jusque dans la nappe, ce dont nous doutons.

Des précautions seraient bienvenues à l’avenir, car il en va de la santé des administrés.

D.Massé